Moorcock avait eu beaucoup de mal à sortir de sa torpeur.
L'ambiance dans la capitale de la FC était morose. Il en avait perdu le gout de rencontrer des gens et de deviser devant une chopine. En apprenant l'existence d'une taverne réservée aux bléiculteurs comtois, il était heureux. Il poussa donc la porte de la taverne et, se dirigeant vers le comptoir, decida d'attendre du monde pour recommencer à sourire à la vie.